Pétitions

Pétitions proposées par nos adhérents ou partenaires

 


Non au sulfoxaflor, un nouvel insecticide « tueurs d’abeilles » autorisé !

L’Agence Nationale de Sécurité Sanitaire Environnementale (ANSES) vient d’accorder en tout discrétion une autorisation d’utilisation d’un nouvel insecticide « tueurs d’abeilles » de la famille des néonicotinoides.

Cette décision est inacceptable et incompréhensible car les parlementaires ont adopté, il y a plus d’un an, le principe d’une interdiction des insecticides néonicotinoïdes en 2018. Accordé une nouvelle autorisation de dix ans (!!!) comme s’apprêtent à le faire les ministres de l’Agriculture et de l’Ecologie est donc une décision qui arrive à contre-temps et méprise les objectifs inscrits dans la loi.

Signez pour que les ministres de l’Agriculture et de l’Ecologie reviennent sur l’autorisation de l’ANSES

La pétition : https://stop-sulfoxaflor.agirpourlenvironnement.org

Mise à jour le 10/11/2017


Pour la Sauvegarde du porc au pâturage

Joan et Joanna sont éleveurs dans le Jura Suisse où Ils élèvent des vaches de race Salers, des chevaux, des moutons de race rustique de Suisse, des Porcs Basques.
Ils vendent leur production en circuit court, ils cultivent et élèvent sans l’apport d’éléments chimiques.

Il y a six ans, ils se sont lancés dans l’élevage de porcs en plein air, ils refusent l’élevage hors sol sur caillebotis ou paille. Le cochon a pour habitude de fouiller (Vermiller) dans le sol comme son cousin le sanglier, à la recherche de vers, de larves, de bulbes… Le problème c’est qu’il abime les prairies et précipite leur érosion etc.
Pour régler le problème, il suffit de leur poser un anneau nasal avec toutes les précautions d’usage.

Ils refusent d’élever leurs porcs entre quatre murs sur des surfaces qui ne leurs conviennent pas, mais les lois de ce beau pays la Suisse interdisent le bouclage des porcs. Joanna et Joan veulent faire changer les choses pour que leurs cochons puissent être élevés dans des espaces naturels avec leurs piercings.

Prenez le temps de lire les explications et signez la pétition pour un élevage de plein air et non entre quatre murs : https://joan19588.wixsite.com/porclibre

Mise à jour le 10/11/2017


SAUVONS LES SOLS


Alors qu’ils sont à la base de notre alimentation et de notre santé, les sols ne bénéficient d’aucune protection réglementaire. Nous demandons à l’Union Européenne d’agir.

Lisez d’abord la BD verticale, amusante et très informative.

Pour savoir en détail ce qu’est une Initiative Citoyenne Européenne : https://fr.wikipedia.org/wiki/Initiative_citoyenne_europ%C3%A9enne

La pétition : https://www.lappeldusol.fr/

Mise à jour le 12/09/2017


AGRICULTURE BIO: NON A LA BAISSE DES AIDES !

Le ministre de l’Agriculture prêt à sacrifier la bio française !!!

La bio représente 5,7% des surfaces agricoles françaises mais ne bénéficie que de 2% des aides européennes… et le gouvernement trouve ça encore trop !!!

En plein cœur de l’été (période faste en décisions impopulaires !) le Ministre de l’Agriculture s’apprête à limiter les aides à la conversion et au maintien des agriculteurs biologiques. En totale incohérence avec les objectifs affichés au lancement des Etats généraux de l’alimentation il y a moins d’une semaine (!), le ministre est prêt à porter un coup fatal à la dynamique qui porte depuis près de 2 ans les conversions en bio.

L’agriculture biologique connaît pourtant un véritable engouement. Pas moins de 21 fermes se convertissent à la bio chaque jour. Les ventes de produits issus de l’agriculture biologique ont bondi de 20% en 2016 et les surfaces agricoles passées en bio de 16%.

2% des aides pour 5,7% des surfaces…!

L’enveloppe budgétaire consacrée à l’aide à la conversion et au maintien est pourtant notoirement insuffisante. La raison en est simple : elle a été fixée à 90 millions d’euros en 2012 (portée progressivement à 160 millions d’euros) et n’a pas suivi la dynamique de conversion. Résultat : les caisses sont vides et les paysans qui ont pris la risque de se convertir à la bio attendent les aides promises… en 2015 !!!

La pétition : https://alaide.agirpourlenvironnement.org/

Mise à jour le 28/07/2017


Sauvons les élevages fermiers de volailles avant qu’il ne soit trop tard !

Sous prétexte de gérer un nouvel épisode de grippe aviaire sur notre territoire et devant l’urgence, le gouvernement impose des normes industrielles aux petits élevages de volailles.

Dépassé par la grippe aviaire dans le sud-ouest, l’état inflige sans détour des mesures sanitaires impossibles à appliquer dans les élevages fermiers.

D’ici le 1er juillet 2018, toutes les exploitations avicoles françaises devront appliquer les normes du décret NOR:AGRG1603907A du 08/02/2016.

A ce jour, un certain nombre d’éleveurs renoncent et préfèrent arrêter leur activité devant le poids de ces mesures.

C’est la fin des volailles et des œufs fermiers (locaux, bio,…etc).

Nous demandons de rencontrer le Ministère de l’Agriculture pour aménager ensemble les mesures de biosécurité.
La pétition : https://www.change.org/p/messieurs-st%C3%A9phane-travert-et-nicolas-hulot-sauvons-les-%C3%A9levages-fermiers-de-volailles-avant-qu-il-ne-soit-trop-tard
L’article de BastaMag pour plus d’infos : https://www.bastamag.net/Ces-normes-pensees-pour-l-elevage-industriel-et-qui-detruisent-le-monde-paysan

Mise à jour le 05/07/2017


La bio en danger !!

L’Europe ne doit pas brader le label « bio » européen : Interpellez le ministre de l’Agriculture !

Alors que la consommation de produits bio a progressé de 21% entre 2015 et 2016 et qu’une vingtaine de fermes françaises se convertissent à la bio chaque jour, le règlement bio européen risque d’être affaibli par la Commission européenne. Il s’agit pourtant aujourd’hui d’un label plébiscité par le grand public et les producteurs pour sa fiabilité et son exigence.

Les institutions européennes travaillent à la révision du règlement bio européen depuis 2014 mais les négociations se sont enlisées depuis de nombreux mois.

La pétition : https://labioendanger.agirpourlenvironnement.org/

Mise à jour le 19/06/2017


Sauvons les hérissons en danger !

Les hérissons jouent un rôle primordial de substitution à l’agriculture industrielle. Ce sont des acteurs de tout premier plan, au même titre que les abeilles. Ils sont les amis des jardiniers depuis la nuit des temps. Pourtant cette espèce est menacée de disparition. Les hérissons sont intoxiqués par les pesticides, broyés par les engins agricoles, chassés des campagnes avec la destruction de leurs habitats naturels, écrasés dans d’horribles souffrances, un peu plus à chaque passage de voiture : 1,8 millions par an sur les routes en France selon les premières statistiques !
Une véritable hécatombe…

La pétition : https://www.change.org/p/sauvons-les-h%C3%A9rissons-en-danger

Mise à jour le 04/06/2017


Continuons à protéger les abeilles

Sous la pression des lobbies de l’agrochimie, la Commission européenne est en train de saboter l’interdiction des pesticides néonicotinoïdes tueurs d’abeilles votée par le Parlement français en juillet dernier.

Cette interdiction, annoncée comme une victoire définitive, a été arrachée de haute lutte par les associations, les apiculteurs et les citoyens, appuyés par quelques députés courageux, après des années de bataille au coude à coude contre les lobbies de l’industrie agrochimique, et une pression gigantesque sur les institutions politiques et parlementaires…

C’est une trahison insupportable de tous les principes démocratiques qui régissent notre pays, et une nouvelle preuve s’il en faut de la mainmise de l’agrochimie sur les décisions européennes au détriment des abeilles, de la nature, de notre alimentation à tous et de notre santé.

On ne doit pas les laisser gagner cette ultime bataille !

Faites pression sur les nouveaux ministres de la Santé, de l’Environnement, de l’Agriculture, et sur le premier ministre pour qu’ils résistent aux pressions de la Commission, et défendent la parole donnée aux citoyens !

La pétition : http://info.pollinis.org/fr/stop-neonics-decret/

Mise à jour le 04/06/2017


Bannissez Monsanto de l’Europe !

Avec Monsanto, c’est TOUJOURS la même histoire. La multinationale multirécidiviste dissimule la toxicité de ses produits pour protéger ses profits, falsifie des études pour faire face à la tempête médiatique, met dans sa poche les organismes de réglementation pour que les gouvernements cesse de l’embêter et se voit contrainte de dévoiler la vérité uniquement lorsque la population décimée la traîne en cour.

Monsanto l’a indiqué clairement dans un courriel du début des années 2000: son objectif est de «contenir» les dommages médiatiques régionalement, certainement pas contenir les polluants. Faisons l’inverse: diffusons les pratiques mensongères de Monsanto le plus largement possible. Et armés de ce savoir, exigeons que nos gouvernements nous mettent à l’abri une fois pour toutes.

La pétition : https://actions.sumofus.org/a/bannissez-monsanto-de-l-europe

Mise à jour le 04/06/2017


Pour les droits des paysans

Assassinats, expulsion de paysan.ne.s de leurs terres, intoxication de travailleu.ses.rs agricoles par des pesticides… Les violations des droits humains fondamentaux des paysan.ne.s et autres personnes travaillant dans les zones rurales sont nombreuses.

C’est pourquoi, le Conseil des droits de l’homme a décidé d’élaborer une déclaration pour défendre leurs droits. Mais la France et de nombreux Etats européens manifestent de telles réserves à se saisir du dossier que cela revient à s’opposer au projet lui-même.

Une pétition européenne a donc été lancée pour demander aux pays européens de soutenir la Déclaration. Même si le contexte électoral français est dense, plusieurs organisations françaises ont décidé de la relayer en France, dont la Confédération paysanne, le CFSI, FIAN, SOL et la Fédération Artisans du Monde.

Une réunion majeure du groupe de travail chargé d’élaborer la Déclaration aura lieu du 15 au 19 mai, au Conseil des droits de l’homme. Il est important qu’avant cette date un maximum de citoyens se mobilise pour demander au Ministre français des affaires étrangères de soutenir la Déclaration et de contribuer de manière constructive à son contenu.

Lien vers la pétition : https://peasantsrights.eu/fr_index.html

Pour en savoir plus sur le projet de Déclaration :
Note publiée par Coordination Sud
Site du Conseil des droits de l’homme

Mise à jour le 06/04/2017


Stop glyphosates

L’Union européenne devrait se prononcer très prochainement sur le renouvellement de licence du glyphosate pour les 15 années à venir; un herbicide pourtant considéré comme un « cancérogène probable » par l’Agence internationale de recherche sur le cancer de l’ONU. L’industrie agrochimique a beau avoir une légion de lobbyistes – un million d’Européens ordinaires pourraient définitivement mettre hors-jeu l’ingrédient actif préféré de Monsanto!

La riposte a d’ores et déjà été lancée par une coalition d’organisations de la société civile européenne et d’experts de la santé et de l’environnement qui utilisent la procédure de pétition officielle de l’UE – appelée Initiative des Citoyens Européens (ICE) – pour obtenir gain de cause.

Une ICE réussie c’est la garantie de pouvoir présenter notre initiative lors d’une audition publique au Parlement européen et d’obtenir une réponse claire et motivée de la Commission.

Signez l’Initiative des Citoyens Européens réclamant l’interdiction du glyphosate, la réforme des procédures d’approbation des pesticides, et l’adoption d’objectifs européens clairs visant à réduire leur utilisation.

Près de 590 000 Européens ont déjà signé l’ICE “Stop Glyphosate” lancée en février. Mais pour être validée, l’ICE doit être soutenue par au moins un million de citoyens européens, venant d’au moins 7 des 28 États membres. On a fait plus de la moitié du chemin.

Mise à jour le 04/04/2017


Sauvons nos villes et nos terres

Une quinzaine de collectifs et d’associations à travers la France (dont le collectif Non à Val Tolosa) se sont regroupés en fédération autour d’un axe commun : lutter contre les implantations commerciales “inutiles et imposées”.

La fédération « Des terres, pas d’hypers ! » dénonce les atteintes sociales, économiques et environnementales que d’immenses centres commerciaux et récréatifs font subir au territoire partout en France. Il appelle tous ceux qui s’opposent à ces projets désastreux à exiger que soit mis un terme à ce développement commercial aberrant.

Nous voulons préserver nos commerces de proximité, la vitalité de nos centre-ville, nos espaces naturels et agricoles péri-urbains, notre climat, nos emplois, et dénoncer l’optimisation fiscale que nombre de ces grands groupes pratiquent.

Des terres, pas d’hyper !  réunit les collectifs des territoires de Gonesse, Orléans, Montpellier, Caen, Cavaillon, Toulouse, Albi, Le Mans, Nice et Plaine du Var, Rambouillet, Alès, Nantes mais aussi des associations nationales comme « En Toute Franchise ».

Avec la fédération Des terres, pas d’hyper !, vous pouvez signer cette pétition pour exiger de nos élus :

Une réforme globale de l’urbanisme commercial en France comportant des mesures de régulation efficaces pour :

  • Arrêter la prolifération aberrante des grandes surfaces commerciales qui se fait au détriment des centres villes,
  • Promouvoir l’artisanat et le commerce diversifié de proximité sur l’ensemble du territoire,
  • Lutter contre l’augmentation des friches commerciales et exiger leur réhabilitation écologique,
  • Préserver les terres agricoles et naturelles, les paysages et le cadre de vie.

Cette pétition sera remise aux :

  • Ministre de l’Aménagement du Territoire et de la Ruralité
  • Ministre de l’Environnement, de l’Énergie et de la Mer

Pour la signer :  https://www.change.org/p/f%C3%A9d%C3%A9ration-des-terres-pas-d-hypers-sauvons-nos-villes-et-nos-terres

Mise à jour le 14/03/2017